
Le 20 mars, soulignons ensemble notre héritage francophone lors de la Journée internationale de la Francophonie !
Cette année, le thème « Je m'éduque donc j'agis » a mis en lumière l'importance de l'éducation francophone dans un monde en mutation pour renforcer nos échanges au sein de cette communauté de 321 millions de francophones.
Saviez-vous que la Fédération Wallonie-Bruxelles était l’un des partenaires majeurs de l'Organisation internationale de la Francophonie ? Avec un budget de 6,5 millions d'euros (plus de 10 millions CAD), elle soutient de nombreux projets éducatifs : bourses d'études, mobilité académique et entrepreneuriat jeunesse.
Célébration du 20 mars à Québec
À l’occasion de la réception officielle de la Journée internationale de la Francophonie organisée à Québec, le Délégué général Wallonie-Bruxelles à Québec, M. Yann Gall, a prononcé une allocution, aux côtés de la ministre des Relations internationales et de la Francophonie du Québec, Mme Martine Biron, et d'autres diplomates.
« La Francophonie, en tant qu’institution multilatérale, joue un rôle clé dans la promotion de la coopération internationale. Elle nous offre une plateforme unique de concertation et d’action collective, favorisant l’échange de savoirs, la mise en œuvre de politiques inclusives et le renforcement des capacités des États et gouvernements membres. La Fédération Wallonie-Bruxelles est fière de contribuer aux programmes éducatifs et de développement, car la Francophonie agit pour réduire la fracture numérique, améliorer l’accès à l’éducation et favoriser l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes. » (extrait de l’allocution de M. Gall)
Légende : Mme Camille Pauly, Consule générale adjointe de France à Québec, Mme Martine Biron, Ministre des Relations internationales et de la Francophonie du Québec, le Délégué général Yann Gall et Mme Zahra Kamil Ali, Représentante pour les Amériques de l’Organisation internationale de la Francophonie © Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Québec/Canada
Cet événement a été organisé par le Ministère des Relations et de la Francophonie et de la Représentation pour les Amériques de l’Organisation Internationale de la Francophonie, avec le soutien de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Québec/Canada.
Le Grand Défi des mots : entre belgicismes et québécismes
« Icit, carabistouille, pantoute, drache », ça vous dit quelque chose ?
Participez dès maintenant au « Grand Défi des mots » qui vous permettra d’en apprendre plus sur les belgicismes et les québécismes.
► Le PDF du « Grand Défi des mots » est téléchargeable et imprimable en bas de cette page et cliquant sur ce lien : Grand Défi des mots
Cette initiative est le fruit d’une aventure linguistique qui a uni les élèves de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de l’école Fernand Meukens (Ans/Wallonie) et du Québec, des écoles Île-des-Sœurs (Montréal) et Saint-Michel (ville de Québec) autour d'un défi créatif : intégrer belgicismes et québécismes dans leurs récits.
Le Concours de récits Québec/Wallonie-Bruxelles visait à faire découvrir une autre culture francophone aux élèves de 5e et 6e primaire, tout en stimulant leur créativité et leur persévérance. Lancé par la Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Québec/Canada et Francophonie sans frontières, avec le soutien de la Délégation générale du Québec à Bruxelles, ce projet pilote a permis de souligner la diversité du français. Une belle réussite qui renforce les liens entre nos communautés francophones et valorise les talents de notre jeunesse ! La remise de prix de ce concours a eu lieu le mardi 11 mars de façon hybride (Montréal-Ans-Québec).
Parlement des écrivaines francophones à Bruxelles
11 écrivaines francophones se font face dans un tribunal éphémère. Au cœur du procès : l’écriture féminine et le droit des femmes à s’exprimer en littérature.
C'est le 25 mars au Théâtre Vaudeville de Bruxelles que s'est tenu le spectacle de la Francophonie | « Grand procès : Les femmes qui écrivent sont-elles dangereuses? », un procès fictif qui a littéralement captivé le public. Organisé par le Parlement des écrivaines francophones, cet événement engagé mêle théâtre, satire et réflexion sur la censure et la liberté d’expression. Viktor Lazlo et Georgia Makhlouf, accusées symboliques, ont défendu leur droit d’écrire face à des arguments absurdes inspirés de théories misogynes. Lise Gauvin, essayiste québécoise, et Geneviève Damas, avocate de la défense, ont rappelé l’importance vitale de l’écriture féminine pour donner une voix à la moitié du monde. Le public-jury a finalement acquitté les autrices, soulignant l’actualité brûlante de ce procès. Ce spectacle est une initiative du Parlement des écrivaines francophones, soutenue également par l’Organisation internationale de la Francophonie et Wallonie-Bruxelles International.
Le Parlement des écrivaines francophones est une initiative engagée qui vise à promouvoir la voix des femmes à travers la littérature. Il a été créé pour offrir un espace de dialogue où les écrivaines des cinq continents peuvent débattre des enjeux sociétaux, de la condition des femmes et de la défense de la liberté d’expression.
► Contribuons ensemble à faire rayonner la francophonie ! Découvrez nos actions sur Francophonie | Wallonie-Bruxelles au Canada
Crédit photo : Francophonie sans frontières | Délégation générale Wallonie-Bruxelles au Québec/Canada